It’s all about the sky !

Hello !

Les américains ont un rapport tout particulier avec la conquête des cieux : du vol fondateur de l’aviation des frères Wright à la promenade de santé sur la Lune de Neil Armstrong, c’étaient eux ! Étant fasciné depuis bien longtemps par les engins volants, ç’aurait donc été bête que je ne profite pas de l’expertise ‘muricaine pour tous types d’ailes. Même leur emblème est un putain de piaf  (un pygargue à tête blanche, pour être précis), c’est dire !

Enfin bref, tout ça pour dire que le weekend dernier aura été un weekend à thème. Samedi, nous avons traîné aux portes ouvertes de l’aéroport Frazier Lake Airpark alias One Charlie Niner, coopéré par des pilotes aussi âgés et charismatiques que leurs avions, et où sont chouchoutés de très chouettes coucous (plein de photos en vol sur le site internet de l’aéroport). Pour la petite histoire, l’un d’entre eux était même en cours d’utilisation pour une leçon de pilotage à Pearl Harbor lors de l’attaque japonaise de 1941. Dimanche, quatrième jour de parapente et premier vol dynamique dans la brise du Pacifique ! Plus, la semaine prochaine je volerai dans ma propre voile, une Jazz de chez Pro Design 🙂 Je vous joins des images du site d’entraînement, des méthodes d’apprentissage de l’école (nope, c’est pas moi sur les vidéos (en fait oui, sur les deux dernières c’est moi)), et des photos où je vooole !

Voilà ! C’est tout pour aujourd’hui !

Bisous !

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Le paquetage du combattant des cieux
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30 m plus bas, la cible d’atterrissage est une Pokéball

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Preflight checks
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« Runrunrunrunrun »

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La Caaaliiifooorniiie (air connu)

Hey !

Ca fait un bail, pas vrai ? Le truc de bien, c’est que j’ai plein de choses à vous raconter ! 🙂

Comme je vous le disais dans un précédent article, j’ai commencé un nouveau boulot ! J’ai été engagé au travers d’un contrat VIE (volontariat international en entreprise) d’une durée de 18 mois pour le compte de Vilmorin, un semencier espèces potagères faisant partie du groupe Limagrain. Je travaille dans l’équipe de recherche en charge du programme de sélection chou-fleur, en tant qu’assistant sélectionneur détaché aux Etats-Unis. Un nouveau voyage, une nouvelle vie pour une année et demie ! Ces derniers temps donc, en vue de tout préparer, j’ai pas mal vadrouillé… dans la région nantaise du côté de chez Alexia, à Angers pour deux semaines de formation au siège de l’entreprise, dans le vent et la pluie des Côtes d’Armor et de la Manche pour quelques jours de terrain, à Paris pour les formalités administratives, et par l’aéroport de Francfort pour les correspondances Lufthansa, pour finalement rallier la Californie le 2 Mars. Les trois semaines passées ont été bien remplies, et je commence à prendre le coup, ce qui me permet me poser tranquillement. Retrospective time !

Les Etats Unis d’Amérique, United States of America, ‘murica ! Le pays de l’Oncle Sam et des libertés, que tout le monde connaît sans connaître. La faute à un soft power sans égal : cinéma, séries, musique, internet, nouvelles technologies, recherche et innovation, c’est là que ça se passe !

Dès l’appareil sur le tarmac, quelques impressions à chaud en zyeutant par le hublot : partout, de gros véhicules ! Grosses berlines, gros 4×4, gros camions style « long capot ». En descendant de l’avion le « danke, auf wiedersehen » de l’hôtesse allemande annonce clairement la couleur : la vieille Europe est loin, bien loin, de l’autre côté de l’océan. Dans les couloirs de débarquement, on se presse et l’on se prépare à la rencontre du premier citoyen américain du voyage : le garde-frontière. Appréhension lors du contrôle du visa et des empreintes, l’antipathique personnage au chewing-gum laisse passer. Avec – 9 h de décalage dans les dents, la journée commence à être longue. Mon responsable vient me chercher avec son gros 4×4, et nous prenons la route direction Hollister. Tout en remontant la Silicon Valley et passant devant un centre de recherches de la NASA et les sièges de Microsoft, Intel, Cisco, McAffee et compères informatisants, séance d’observation et de décryptage de la conduite californienne (ne vous en faites pas, j’y reviendrai plus longuement dans un autre article). Arrivés à destination, mon responsable me fait faire un tour d’horizon des principales enseignes commerciales du coin. Le distributeur automatique refuse quant à lui de me faire faire le tour de mon compte en banque pour me filer du biffeton vert. Merci les sécurités ! Enfin, le temps de visiter des appartements repérés sur Craigstlist, l’équivalent local de notre Le Bon Coin national, installation au motel pour la première semaine.

Chouette motel d’ailleurs, ce Best Western San Benito Inn, avec une chambre propre et très bien équipée, une piscine dont je n’ai pas profité, et un petit déjeuner à l’américaine comme je les aime ! Oeufs brouillés, bacon, saucisses, café, gaufrier en libre service, sirop d’érable au litre, oatmeal, yaourts, fruits, jus de cranberry, etc. En bref, de quoi se faire sauter la cholestérolémie et/ou la glycémie dès le début de journée.

J’attaque dès le lundi matin. La première semaine de boulot est consacrée à la présentation des différents sites et équipements. Bien que les bureaux soient basés à Hollister, les serres et parcelles sont répartis dans un périmètre assez large, allant de Gilroy à Salinas. Les environnements de travail varient de la station expérimentale en plaine maraîchère à exploitation agricole partenaire en piémont. Un véhicule étant alors indispensable, on me remet les clés d’un (gros) 4×4 de fonction (13 L /100 km…). Mon responsable me laisse également un peu de champ libre pour trouver un lieu où emménager, et c’est sans trop d’hésitation que je porte mon dévolu sur la ville de Seaside.

Je vis ainsi dans une maison d’un voisinage tranquille de cette petite ville côtière, avec une mère et son fils, ainsi qu’un autre colocataire. L’océan Pacifique est à 10 minutes à pied, le rivage est superbe avec ses grandes dunes de sable fin (particulièrement en fin de journée, la côte étant orientée plein Ouest), tous les commerces sont à proximité et nous sommes à 5 minutes de voiture de la ville voisine de Monterey. Le sud de la baie est plutôt tourné vers les activités de la pêche, et plus au nord ce sont les sports de glisse et le tourisme qui sont à l’honneur. A l’est, la vallée de Salinas est une zone d’intérêt mondial pour les cultures maraîchères, dont la laitue. On parle même du « bol de salade mondial ». Plein nord, on se tourne vers la Silicon Valley et la baie de San Francisco, et en direction du Sud la Freeway 1 longe la côte jusqu’à Los Angeles. Il y a l’air d’avoir pas mal d’animation dans le coin, et j’ai dans l’idée de noter un certain nombre de dates dans mon calendrier à partir du guide Lonely Planet Californie.

Alexia débarquera le 16 avril pour, je l’espère, trouver au pire un stage, au mieux un emploi dans le coin. Il y a l’air d’avoir pas mal d’activité autour de la recherche en biologie marine dans les alentours, en liaison à la bathymétrie particulière de la baie de Monterey, et  topographie locale pour ce qui est des zones estuarines. Parmi les institutions présentes sur la côte, on retrouve les campus de Santa Cruz et de Monterey de l’Université de Californie, l’aquarium de Monterey et son centre de recherche, les laboratoires marins de Moss Landing, les réserves d’Elkorn et de Salinas river, etc.

Pour ce qui est de cette toute première expérience dans le privé, concernant l’espèce, le chou fleur est ici cultivé toute l’année, positionné comme une culture supplémentaire pour remplir des laps de temps entre d’autres cultures à plus haute valeur ajoutée et rentabiliser ainsi le prix de la terre. Pour ma part, je suis lancé dans l’entretien du matériel végétal qui sera utilisé pour le prochain cycle de sélection d’hiver, nous allons procéder à la récolte du matériel de sélection d’automne, et le matériel de printemps a été planté. Les choses se mettent en place assez rapidement, donc.

Voili voilu pour ce premier aperçu, je vous poste quelques photos mais j’en ai pas des masses… Du coup j’en uploaderai d’autres, et je rajoute quelques unes de ma visite sur le magnifique campus de l’université Stanford ! Grande claaasse.

Ha et ce weekend : deux jours d’initiation au parapente 🙂

A très vite, prenez soin de vous !

L’équipe de sélection tout-terrain Bretagne-Normandie
La côte de Monterey vue des dunes de Sand City
La côte de Monterey vue des dunes de Sand City

Vol dynamique à Sand City
Stanford University
Stanford University
Stanford University
Stanford University
Stanford University

Ponton à Moss Landing
La voiture de l’entreprise

A la découverte de la Dominique

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Hello!

La semaine dernière, Alexia et moi avons profité du weekend prolongé pour voyager dans la Caraïbe. Destination : la Dominique, une île de 750 km² (soit plus petite de 100km² que la Basse Terre, et de 400km² que la Martinique) enclavée entre l’archipel guadeloupéen et la Martinique. Après un passé colonial tumultueux fait de colonisations successives de la part des Français et Anglais, l’île devient en 1978 une république démocratique indépendante, membre du Commonwealth. On y parle l’anglais, et le créole dominicais, une sorte de mélange entre créole français et langue anglaise. La monnaie y est le Dollar des Caraïbes orientales, ou East-Carribean dollar, et dont le cours oscille aux alentours de 1 € pour 3,4 $EC.

L’île étant bien desservie par la mer au travers des compagnies Express des Iles et Jeans For Freedom (qui sont en réalité détenues par les mêmes actionnaires, et donc virtuellement concurrentes), je suis arrivé mercredi soir au port de Roseau, la capitale dominicaise. Suivant les conseils prodigués sur internet, j’ai rempli pendant le voyage mon formulaire d’entrée sur le territoire, et j’ai réussi à sortir du ferry dès l’ouverture des portes pour ne pas perdre trop de temps à l’immigration et aux douanes. Une fois dans Roseau, la nuit tombant et ayant peur de ne pas trouver de transport jusqu’au guesthouse situé plus au Nord sur la côte Ouest, dans le village de Salisbury, je me suis laissé rabattre vers un taxi, qui n’a pas hésité à faire banquer la course une trentaine d’euros…

Niveau hébergement, nous avons pris toutes nos nuits à East Carib Dive/Chez la Doudou, un club de plongée/bar resto/guesthouse sur la plage de Salisbury tenu par Béatrice et Harald, un couple franco-allemand. Que du plus de ce côté là : facile d’accès, bonne ambiance, chambre spacieuse et clean, petit déj’ sur la plage, tarifs sympas. Leur site internet regorge d’infos pratiques pour arriver serein en Dominique.

Le lendemain matin, je suis retourné à la gare maritime de Roseau pour accueillir Alexia, qui arrivait depuis la Martinique.  Cela a été la première occasion de tester les transports en commun locaux, les « shuttles », qui sont une sorte de taxis collectifs. Opérant sous la forme de minivans de 9 à 12 places, ils sont repérables à la lettre H de leur plaque minéralogique, et ramassent et déposent à la demande les voyageurs le long de lignes définies pour un prix oscillant autour de 5 $EC par course. A Roseau, il existe pas moins d’une quinzaine d’arrêts de bus, chacun spécifique à une destination, et tous précisés sur Google Maps. Après un jus frais au Cocorico Café, en face du débarcadère, nous avons pris un taxico pour Soufrière, tout à fait au Sud de l’île, et sommes allés nous promener jusqu’à la péninsule de Scotts Head.  Le site faisant partie de la réserve marine Soufrière-Scotts Head, nous y sommes restés pour faire un peu de PMT (palmes-masque-tuba).

Alexia : Et c’était chouette, il faut quand même le dire! Personnellement, en comparaison de ce que je vois en Martinique, les poissons sont plus gros, et plus diversifiés, pour moi ça ne fait pas photo. Il parait que ce n’est pas spécialement grâce à une pêche et un tourisme plus durable, mais surtout parce que la population est moins importante et fait donc moins pression sur la ressource. Ce que je veux bien croire…

Au deuxième jour, nous avons rejoint Portsmouth, la grande ville du Nord, afin de rencontrer Shahir, un chouette couchsurfer originaire du Texas. Il nous a conduits à bord d’un hobie cat jusqu’à une plage inaccessible autrement que par la mer, où nous avons passé la matinée à PMT et à papoter, puis il nous a conduits dans un bouiboui où nous avons pu goûter à de la nourriture locale pour trois fois rien, avant de partir marcher un peu sur les hauteurs et se baigner en rivière. Le soir, en rentrant à Salisbury, nous sommes passés par le village et avons fait un arrêt au « Bobot’s bar and snack » pour y manger « the best chicken barbecue in the world », selon l’avis de l’un des clients rencontrés le soir de mon arrivée. Il faut avouer que la cuisse de poulet marinée en question a tenu ses promesses, et ce pour 10 $EC.

Alexia : J’aime, la balade en mini catamaran et les discussions politiques et culturelles. J’aime un peu moins, l’eau glacée de la rivière mais c’était cool quand même.

Le troisième jour, nous sommes retournés sur Roseau et avons pris un petit déjeuner conséquent au Cocorico Café avant d’aller louer une voiture pour l’après-midi et le lendemain matin. Nous avons pris un 4×4 Suzuki Escudo chez Courtesy Car Rentals, au service irréprochable malgré un prix assez élevé, de l’ordre d’une soixantaine de $US pour 24h, auquel il aura fallu rajouter la conversion du permis français d’Alexia en permis dominicais pour 12$US. La location vaut cela dit le coup, ne serait-ce que pour le dépaysement de la conduite à gauche d’un véhicule automatique dans des conditions tout-terrain. Nous en avons profité pour aller trainer du côté de Trafalgar Falls et de ses sources d’eaux chaudes, mais aussi Emerald Pool, tous deux assez fréquentés. Nous sommes également passés de l’autre côté de l’île, jusqu’à Rosalie, beaucoup plus sauvage de par le relief et la violence de la côte Atlantique.

Alexia : Tu pourrais au moins dire que le Cocorico café m’a servi un espèce de pain perdu avec du sirop de canne à tomber que je conseille! ET que j’ai conduit comme un chef, alors que c’était ma première fois dans toutes les catégories. Les Trafalgar falls sont superbes, c’est une sortie à faire, même si c’est vrai que notre bain à la jonction des eaux chaudes et froides a été un peu gâché par la foule. Emerald pool est très joli aussi, mais il y avait là vraiment trop de monde pour se baigner…

Le lendemain dimanche, nous avons continué en allant le matin à Wotten Waven Sulphur Springs et ses sources soufrées (les bains ne sont apparemment pas inclus dans le pass des sites d’intérêt de l’écotourisme dominicais) et Titou Gorge (qui était tout boueux des pluies de la nuit, et donc pas top pour nager). De retour à midi à Roseau pour rendre la voiture, nous avons ensuite attendu pour l’embarquement des ferrys de retour. Tout d’abord celui d’Alexia, puis le mien, avec une queue pour le paiement de la taxe de sortie de territoire, l’enregistrement, le contrôle de l’immigration, et enfin  les contrôles de sécurité avec vérification des sacs. Sans oublier un retard de deux heures sur l’horaire à cause du zèle de l’immigration dominicaise, qui n’avait pas fini le contrôle des voyageurs alors que le bateau était déjà à quai et prêt à partir.

Alexia: Titou gorge a quand même l’air vraiment chouette, dommage qu’il avait plu…

Niveau ambiance, la Dominique reflète une créolitude différente de celle rencontrée en Guadeloupe, peut être plus marquée par le catholicisme et le rastafarisme. Le mélange entre panneaux de circulation à la mode british, publicités de peintres en lettres et maisons colorées, le tout sur un fond de musique reggae, reggaeton, zouk, voire bouyon (même si les morceaux du groupe Kassav’ semblent mettre tout le monde d’accord), participent au dépaysement. Les locaux sont très accessibles, agréables et serviables, mais peuvent devenir un peu pénibles lorsque la discussion s’oriente vers le business (« Hé mon ami! Tu aimes le coin? Tu as besoin d’un guide pour monter au Boiling Lake? »). Tout est monnayable par l’étranger. Cela dit, des français croisés à Scotts Head nous ont par exemple recommandé les sorties en mer avec les pêcheurs pour l’observation de cétacés… tout dépend donc des personnes, et plus d’une fois nous aurons demandé notre chemin aux locaux qui nous auront très gentiment aidé. Même, a contrario, des locaux seront venus spontanément vers nous en nous voyant perdus pour nous aider.

En conclusion, si je devais comparer, jusque là j’ai ma préférence pour la Basse Terre, mais je pense qu’il y a moyen d’être vraiment tranquille en Dominique, surtout sur la côte Est. Cela dit, il faudrait rester bien plus que 4 jours pour profiter au mieux du pays, de ses activités et de ses habitants… On fait ce qu’on peut, hein! 🙂

Alexia : Et moi si je dois comparer, je crois que je préfère la Dominique à la Martinique, car plus colorée, beaucoup moins urbanisée et donc beaucoup mieux préservée et plus belle. Mais ça reste un point de vue principalement touristique parce que je ne me verrais vivre sur aucune d’elles. Quant à la Guadeloupe, je la placerais, pour ce que j’en ai vu, entre les deux dans mon classement. Mais c’est vrai qu’il aurait fallu plus de 4 jours pour se faire une vrai idée.

Hop, pour finir des photos et vidéos.

Sinon, plus que deux grosses semaines en Guadeloupe ! D’ici là, prenez soin de vous !

Bisous 🙂

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Petit déj’ sur la plage

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Vue sur la côte Sud Ouest – au fond on aperçoit Scotts Head

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Vue sur la côte Sud Ouest depuis Scotts Head – au fond le village de Soufrière

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Scotts Head village

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Soufrière Bay et son tombant

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Publicités à Soufrière

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Coucher de soleil sur la plage de Salisbury et le bateau de East Carib Dive

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Un vieil iguane à Portsmouth

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Shahir à la barre sur Pince Rupert Bay – au fond, le Cabrits National Park

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Alex très à l’aise en navigation

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Un vieux hobie cat

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Secret beach

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Secret beach

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Blabla le cul dans l’eau

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Au fond, le Sud de la Basse Terre

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Jardin créole : bananes et papayes

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Un taxico visiblement importé d’Asie

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Trafalgar Falls

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Trafalgar Falls

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Trafalgar Falls

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Le cours d’eau en aval d’Emerald Pool

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Un panneau du Waitukubuli Trail, chemin de randonnée parcourant toute l’île

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La chute d’eau d’Emerald Pool

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A Rosalie

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A Rosalie

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A Rosalie

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A Rosalie

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A Rosalie

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Un lézard exhibant son fanon gulaire

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4×4 like a boss

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Saint Joseph

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Glace à Saint Joseph

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Résurgence soufrée à Wotten Waven

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Au final on se contentera d’un bain de pieds tiède…

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Une canalisation hydroélectrique en bois à Titou Gorge… du sacré travail de tonnelier

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Publicités peintes à Roseau

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Publicités peintes à Roseau… pour la Kubuli, la bière dominicaise pas mauvaise du tout

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L’Express des Iles

Mangoustan

« Surnommé « Roi des fruits tropicaux », le mangoustan serait le fruit parfait. Sa saveur est absolument et indescriptiblement délicieuse… […] Le fruit, rond mais légèrement aplati à chaque extrémité, est recouvert d’une écorce liégeuse épaisse et lisse de couleur vert-pâle à jaune virant au pourpre violacé à maturité. L’intérieur du fruit est composé de 6 à 8 quartiers blancs, se détachant comme ceux d’une mandarine, on y retrouve une à plusieurs graines. […] Sa chair est fondante et d’excellente qualité. Le fruit est le plus souvent consommé tel quel, mais il peut aussi être conservé dans un sirop de sucre, transformée en gelée ou en confiture. L’écorce de l’arbre, riche en tanins, serait efficace contre les dysenteries amibiennes. On lui reconnaît des propriétés anti-inflammatoires. Il permettrait aussi de faire baisser le taux de corps gras dans le sang. Son bois noir, lourd et résistant, est apprécié en ébénisterie. « 

Le Bellec, F., Renard, V. (2002) Le grand livre des fruits tropicaux
Editions Orphie / CIRAD

 

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