Résultats du concours « 100 articles »

Bonjour à tous !

Voici (oui, bon, avec un jour de retard… désolé !) les résultats du concours lancé pour les 100 articles du blog ! Après moulinage de la part du dieu du random, le gagnant est :

Arthur (arthur_grasse (at) hotmail.fr)

Félicitations au gagnant (fais quand même gaffe à la crise de diabète !), et désolé pour tous les autres ! Mais restez fidèles au blog, qui sait ce qu’il y aura à gagner au prochain jeu… A très vite pour de nouveaux articles (malgré la rédaction en cours du rapport de stage en exploitation agricole, gnnn) !

Baïetas !

100 articles, et un concours !

Hey !

La barre des 100 articles sur ce blog est franchie ! C’est la fête ! Sortez la tireuse, ramenez vos écocups et secouons nos cheveux sur un bon vieux Rob Zombie tout en renversant de la bière partout dans les couloirs ! Hein ? Ça veut dire quoi ça : « à part pour Rob Zombie c’est le programme de la soirée de vendredi à l’école » ? Infâmes traîtres !

Dans tous les cas, je suis bien content de réussir à m’en tenir à un certain rythme de publication (c’était mon objectif premier),  malgré une variabilité due au boulot personnel… Je suis également très heureux de voir que la fréquentation du site est en constante hausse, ce qui veut dire que vous êtes un certain nombre à trouver dans ce que j’écris l’info que vous recherchez!

Parlant de recherche, il y en a parmi vous qui sont tombés ici en tapant de drôles de choses dans Google… par exemple :

  • « vomissements »
    Hey, c’est pas ici Doctissimo !
  • « mot en 1981 »
    Je crois que ça s’écrivait pareil, à l’époque. Mais faut que je me renseigne, j’étais pas né.
  • « plats régionaux »
    Même internet sait que j’aime manger ?
  • « prix de vente du soin cells life gernétic »
    Encore des cosmétiques à base d’ADN végétal ? HA HA HA.
  • « soirée la croisière se murge »
    C’était le nom officieux de la soirée d’inté de l’an passé… mais chut !
  • « le mot « fusion » en biologie végétale »
    Ça existe, et ça s’utilise quand tu fais de la fusion de protoplastes !
  • « le jeu scénique du chanteur »
    Ok, on apprend plein de trucs en ingé, mais là…
  • « le bordel à l’aéroport d eclermont ferrand »
    J’ai pas été si médisant sur cet aéroport pourtant… si ?
  • « faire des trous vetagro »
    Eh oui, en stage de première année ! Mais il n’y a plus qu’une seule fosse pédologique à faire maintenant, merci pour le dos !
  • « etymologie du mot import export »
    Préfixes im- et ex-, respectivement pour « dedans » et « dehors », et -port pour « porter » !
  • « escargots bego »
    Va, petit escargot, jusqu’au sommet du mont Bégo ! Vient de la chanson « Parla d’acqui » des Nux Vomica.
  • « destination du futur »
    Vers l’infiniiiii, et au delàààà !
  • « curage chevrerie »
    Alors il te faudra un tracteur, une pelle, une remorque et des bras !
  • « comment composer une huil saint »
    Pas mon domaine de prédilection même si ça parle d’huile d’olive, mais pour les sacrements chrétiens, regarde du côté du saint-chrême.

Merci à tous pour ces moments d’humour absurde devant les statistiques de mon site !

Pour vous remercier, allez soyons fous, voilà un petit concours ouvert à tous les français métropolitains ainsi qu’à nos amis Corses pour vous faire gagner un colis de bonbons en provenance de la SIC, confiserie de la région niçoise depuis 1947 ! Dedans le colis, tout plein de bonnes choses faites avec amour:

  • 1 étui de bois de réglisse
  • 9 boîtes de pastilles Mountain Secret (menthe, menthe sans sucre, menthe fraîche, chlorophylle, réglisse, citron, violette, Cachou, Grains de Provence)
  • 3 sachets de bonbons Blocs des Vosges (miel, bourgeons de sapin, eucalyptus)
  • 4 boîtes de bonbons Rendez-Vous (fruits assortis, fruits de la forêt, fruits tropicaux, café)
  • 1 sachet de bonbons acides Pilules du Diable
  • 1 sachet de tubes de poudre rafraîchissante Rigolos citron
  • 1 sachet de sucettes marseillaises cerise-chloro

Pour participer, c’est simple. Il suffit de se rendre sur la page Facebook de mon blog, et de partager avec vos contacts l’actualité qui traite de cet article ! Maintenant que les partage de liens sont décomptés, ça me permettra de connaître les participants ! Et puis au pire, si ça ne fonctionne pas, vous n’aurez qu’à laisser un commentaire en bas de cet article.

Le tirage au sort aura lieu le 1er Novembre. D’ici là, je vous souhaite bonne chance à tous, et vous remercie de me lire! Portez-vous bien, et restez connectés pour de nouvelles aventures ! 😉

Baïetas !

« OMNOMNOM CANDIES »

Guide pratique à destination du futur résident VetAgro Sup Clermont

Bonjour à toi, ô futur voisin !

Tout d’abord, toutes mes félicitations pour ton admission ! Tu vas voir, ici à Clermont, c’est chouette.

Si tu prévois de loger à la résidence du campus, sache néanmoins que le choix de ta chambre – possible avant l’inscription – peut constituer un élément stratégique décisif quant à la pleine réussite de ton séjour dans les murs de VetAgro (si, si !). En cela, cet article te fournira des données d’une valeur inestimable, bien que très (trop ?) subjectives.

Séparée des bâtiments d’enseignement par un jardin, la résidence du campus agronomique est un long bâtiment orienté Nord-Sud s’élevant sur trois étages. Au rez-de-chaussée se trouvent les boîtes aux lettres, la laverie, le bureau des sports, la cuisine, le labo photo, la salle informatique, la salle télé et bien sûr le socio, qui regroupe en un même endroit et met à portée de peignoir un bar associatif et les commodités qui viennent avec. Le plan-type des étages correspond à peu de choses près à l’image en haut de cet article.

Les critères de choix de la chambre dépendent de plusieurs facteurs, dont :

L’ensoleillement : les chambres étant orientées plein Est ou plein Ouest, autant vous demander directement si vous préférez vous prendre le soleil dans la face au petit matin, où jusqu’à tard le soir. Gardez cependant en tête que s’ajoute un facteur dit d' »effet de serre » pour les chambres aux couchers de soleil tardifs, et ce d’autant plus que le nombre de fenêtres peut être simple ou double.

Le bruit : l’école étant enclavée entre une autoroute et un aéroport civil ET militaire, le lieu est propice à la méditation synchrone aux fréquences des turboréacteurs Boeing, Airbus, voire Mirage et autre Rafale. Côté Est, retenez que la musique du socio (situé r.d.c. plein Nord) des jeudis soirs festifs traverse le plancher du premier, et est réverbérée par les salles de cours pour atteindre les deuxième et troisième étages. Côté Ouest, c’est le calme ! Notez également qu’au troisième étage, le bruit de l’autoroute est légèrement plus fort à l’Est.

Le niveau d’activité dans les couloirs : mis à part lors de l’intégration où tous les résidents sont concernés/toutes les portes sont tambourinées, le niveau d’activité dans les couloirs est fonction inverse de l’étage, avec un minimum au troisième – globalement – et un maximum au premier côté Sud, qui est en continuité avec l’accès au self. Tous les jours en semaine, de 19h30 à 20h, réunion-potins sur le palier du deuxième étage entre résident(e)s du coin, actuellement en passe d’enregistrement à l’inventaire du folklore local.

Extra – la vue sur le Puy-de-Dôme : un certain nombre de chambres du deuxième et troisième étage côté Ouest possèdent la chance d’avoir une vue sur la chaîne des Puys et son magnifique coucher de soleil. Bien que la scène ait du charme, ce sera à vous de voir si vous désirez en payer le prix fort en été (voir « L’ensoleillement »).

Extra bis – l’aile Sud : certaines chambres sont situées dans une aile de la résidence située plein Sud. Au delà de l’aspect déstabilisant du point de vue orientation (un virage à 90° est nécessaire pour pouvoir déambuler dans le reste du couloir, initialement rectiligne, de 80m de long), cette aile pourrait être intéressante à tous points de vue, même si isolée du reste des chambres (peut-on parler de séparatistes ?). A considérer, donc.

Voilà ! Vous devriez maintenant être, en vue de votre installation à venir, en possession de tous les renseignements nécessaires à un choix réfléchi, en accord avec vos profondes aspirations et vos nombreuses attentes quant à la résidence étudiante VetAgro Sup, campus agronomique de Clermont-Ferrand ! Ne me remerciez pas, c’est tout naturel 🙂

Si vous avez une petite question, n’hésitez pas à me laisser un petit mot. C’est gratuit, ça me fait plaisir, et ça sauve des chatons sur Internet. Allez-y donc à coeur-joie, je me ferai grand plaisir de vous répondre.

A très bientôt!


Agrandir ce plan de l’école

Emergency Inflatable Brain : à proscrire lors d’une attaque de zombies !

Bonjour à tous,

Je viens à l’instant de tomber sur une actualité concernant l’arrivée sur le marché d’un nouvel ESAZ (Equipement de Survie à une Attaque de Zombies), l' »Emergency Inflatable Brain » ou Cerveau Gonflable de Secours, pour les francophones.

Celui-ci est annoncé comme permettant de leurrer un zombie rôdant, de façon à le piéger. Je me permets cependant de réagir à cet avis en ma qualité de biologiste,  ce produit pouvant s’avérer très dangereux à l’usage, et mener à l’effet inverse de celui recherché.

Reprenant ainsi les bases de physiologie zombi telles qu’exposées dans l’ouvrage de référence « The Zombie Survival Guide » de Max Brooks, rappelons que les perceptions zombi sont très altérées en comparaison aux perceptions humaines. De fait, l’activité de prédation est basée en partie sur la vision via l’observation de la fluidité des mouvements, mais également et avant tout sur l’olfaction. Des études ont ainsi montré qu’un zombie moyen est capable de repérer un cadavre frais à une distance pouvant aller jusqu’à un kilomètre et demi. Les sécrétions à l’origine de ce chimiotactisme n’ont cependant pas pu être déterminées, mais  la transpiration, les phéromones et le sang sont supposés être impliqués dans ce mécanisme. Enfin, il est à souligner que des études statistiques et de laboratoire tendent à mettre en évidence l’existence d’un « sixième sens zombi », basé sur des modifications cérébrales, permettant un repérage de proximité des formes de vie alentour.

Partant ainsi de l’hypothèse d’une proximité comportementale entre zombie et insecte telle qu’indiquée dans l’ouvrage de Brooks, nous pouvons supposer que les actions de prédation zombi seront conditionnées par les perceptions précitées uniquement, à savoir olfaction, sensing de proximité, et vision.

C’est ici que se pose alors toute la problématique du Cerveau Gonflable de Secours. N’ayant aucune des propriétés organiques (activité biologique et teneur en métabolites nulle) susceptibles d’attirer un éventuel zombie, je me permets alors de soulever de sérieux doutes quant à son efficacité en tant qu’ESAZ. A l’extrême limite, seul l’aspect pourrait contribuer à sa fonction première, mais rappelons que la vue n’est pas une perception prioritaire chez le zombie.

C’est pourquoi, à moins de vouloir attirer directement sur vous une horde de morts-vivants affamés,i je déconseille fortement l’utilisation de cet artéfact, et vous conseillerai d’utiliser plutôt un véritable cerveau humain. De plus, lors de la fourniture en matière première,  vous pourrez ainsi en profiter pour vous débarasser des gens que vous n’aimez pas. Quitte à être efficace, autant ne pas l’être à moitié.

Haaaa, Darwin et la sélection naturelle…

« L’équipement en question »

« Un piège totalement inefficace »

(source ufunk.net, photo zombie-popcorn.com)